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il y a 4 ans
Histoire érotique de fessée donnée par un couple très coquin
Bonjour, j'ai quarante cinq ans, je suis une jolie brune mince et élégante, jolie poitrine encore ferme, épouse d'un homme respectable et respecté de quelques années mon aînée. Nous habitons une villa de la région toulonnaise et, pris tous les deux par des obligations professionnelles, nous avons de tout temps confié le ménage à une employée de maison. La précédente nous ayant quitté voici quelques mois, nous avons embauché deux après midi par semaine une dame de 51 ans, un peu forte mais sans plus, et qui nous a laissé une agréable impression de sérieux et d'honnêteté.
Décision fut donc prise de l'embaucher.
Les premières fois je me suis rendue disponible afin de pouvoir la renseigner sur ce que nous désirons ainsi que pour lui montrer la place des choses.
Je la regardais aussi du coin de l'œil. C'est vrai qu'elle n'est pas bien maligne, mais elle travaille pas trop mal et elle est plutôt agréable à regarder. Mon mari me disait d'ailleurs qu'il aimerait bien " tremper " dans son gros cul. Il faut dire que nous sommes un couple plutôt libre, mais sans excès. Nous avons essayé le mélangisme et l'échangisme, quelques sorties en club aussi, puis nous nous sommes lassés de cet échange de " viande " au profit de quelques accrocs au contrat conjugal, bien plus agréables. La vérité me pousse à dire que cela m'est plus facile à moi, femme, de trouver un amant que l'inverse. Cela reste toutefois à la marge et il me faut reconnaître que j'aurais apprécié que mon mari se tape la bonne. Au moins je saurais avec qui il baise.
Quelques mois ont passé sans que rien ne se précise, sinon la maladresse de notre bonne. C'est d'ailleurs incroyable ! il ne se passe pas une semaine sans qu'elle ne me casse un verre, m'ébrèche une assiette, me fasse tomber quelque chose. Au début elle a bien essayé de masquer ses maladresses mais nous n'avons pas été dupes longtemps. J'étais assez en colère bien que les choses brisées n'aient pas une bien grande valeur, mais j'ai envisagé de m'en séparer. Mon mari, plus vicieux et ayant remarqué son tempérament soumis. ( il est vrai que c'est une carpette ! ! !) m'a plutôt proposé de la punir.
La punir ? et comment ?
Simplement m'a-t-il répondu, on lui parle tous les deux, et nous lui mettons le marché en main : Bris de vaisselle, d'accord, mais un état des lieux sera dressé qui sera suivi d'une punition corporelle.
L'idée était loin de me déplaire et c'est en parlant de ce que nous allions lui faire subir que nous avons baisé cette nuit là. Le vendredi suivant, nous avons eu une longue conversation avec Marie-Hélène.
Elle reconnaissait sa maladresse. Au bord des larmes, nous suppliants de ne pas la remercier, elle se dit prête à s'améliorer. Nous ne sommes pas des chiens. Mon mari l'a immédiatement rassurée. Il n'a jamais été question de la licencier. Le bris de quelques verres et de quelques assiettes ne peuvent justifier un licencient envers une personne qui fait consciencieusement son travail. Non, nous nous proposions de la punir pour sa maladresse.
Séchant ses larmes Marie-Hélène accepta les punitions.
Mon mari surpris lui précisa que nous n'avions pas encore parlé quelles sortes de punitions nous comptons lui infliger. Marie-Hélène, reniflant, se dit prête à tout accepter. C'est à moi qu'incomba de lui expliquer ce que nous souhaitions. Mon mari nous laissa toutes les deux et je lui dis, avec tout le tact dont j'étais capable que nous souhaitions qu'elle ne dissimule plus les objets brisés mais les consigne sur un cahier à cet effet. Les punitions sont corporelles bien entendu. Marie-Hélène acquiesça. Les punitions pouvaient être données indifféremment par mon mari ou moi-même, en présence un de l'autre ou seuls.
Marie-Hélène demanda si cela ferait mal.
- Bien sur ! Répondis-je ! Où est la pédagogie s'il n'y a aucune douleur !
Je la rassurais cependant en lui disant qu'il n'y aurait jamais de traces, des rougeurs bien sûr, mais qui disparaîtraient après quelques heures. En parlant de tout cela, je m'aperçu que jamais le mot " fessée " n'avait été prononcé. Soit elle ne s'en rendait pas compte, soit cela lui était évident et elle l'acceptait. Mais comme elle n'était pas très maligne je souhaitais que les choses soient claires.
" Votre mari vous donne la fessée parfois ? " Lui demandais-je ?
" Ah non ! Jamais ! " Me répondit-elle offusquée.
" pourtant, dans les punitions que nous envisageons ensemble, la fessée en est quand même l'articulation principale "
Baissant les yeux, Marie-Hélène dit tout bas : " Je sais ". Oui ! ! ! elle accepte. A cet instant je sentis ma culotte se mouiller, et mon pouls s'accélérer.
" Marie-Hélène, regardez-moi, vous savez comment se donne une fessée, n'est-ce pas ? "
" oui madame "
" vous savez que mon mari ou moi-même pourrons vous la donner "
" oui madame "
" vous savez que votre pudeur pourra être mise à mal "
" oui madame "
" Et vous acceptez ? "
" Oui, mais je vous en prie, pas un seul mot à mon mari ! "
" n'ayez crainte Marie-Hélène, nous ne dirons rien "
En moi-même, j'avais du mal à me contenir j'avais envie de me caresser, de la fesser, je regardais cette femme, l'imaginais se dévêtir, s'allonger, mettre ses fesses en position... mais je sus conserver mon s a n g froid et nous passâmes la demi-heure suivante à instaurer un barème des punitions. Pour ne pas l'effrayer, dans cette première mouture, nous sommes restés aux fessées proprement dites, données à la main et avec une règle plate. Si tout se passe bien, le martinet et la cane suivront, et je crois que nous pourrons faire souffrir ses seins.
" voilà Marie-Hélène " " nous avons bien travaillé, nous sommes tombés d'accord sur un barème qui me semble juste "
" oui madame "
- Qu'avez-vous cassé cette semaine ? "
Marie-Hélène énuméra la liste des dégâts, qui n'était pas bien longue, mais faisait une fessée de vingt claques. Pour solde antérieur, je proposais 20 claques supplémentaires, ce qu'elle accepta. Je lui dis enfin que nous allions la fesser immédiatement. Elle me regarda les yeux un peu hagards, se rendant compte de ce qu'elle acceptait. J'appelais mon mari et lui expliqua, en la présence de Marie-Hélène qu'elle acceptait nos conditions et que nous allions lui donner une fessée de quarante claques, 20 chacun.
Le regard de Marie-Hélène allait d'un à l'autre assise sur le fauteuil, elle ne savait que dire. Mon mari alla prendre une chaise dans la salle à manger, l'emmena dans le salon et demanda à Marie-Hélène de se mettre debout. Elle obéit immédiatement. Je vous l'ai décrite succinctement. Il faut savoir que Marie-Hélène est blonde, cheveux mi-longs, et était vêtue ce jour là d'un pantalon noir, et d'un chemisier à grosses fleurs, ainsi que de sandales. Mon mari demanda à Marie-Hélène de s'approcher. Ce faisant, elle me dépassa, se plaçant entre lui et moi. Mon mari lui demanda de défaire son pantalon et de le baisser. Tardant à s'exécuter, je lui intimais d'une voix dure à accélérer le mouvement. Elle défit donc son pantalon et le baissa doucement sur ses cuisses, s'arrêtant au milieu. Moi qui espérais un string, j'étais déçue ! Non, une culotte blanche, classique masquait ses fesses. Mon mari lui demanda de se retourner ce qu'elle fit en rougissant. Il lui dit alors que " du fait qu'elle n'avait pas de string, il était obligé de lui demander de baisser sa culotte "
Elle mit ses mains sur l'élastique mais avant qu'elle ne descende sa culotte, je lui intimais l'ordre de se tourner vers mon mari. C'est ainsi que j'eus le plaisir de voir son cul mon mari se délectant des poils de sa chatte. Debout, le pantalon et la culotte à mi cuisse, elle attendait. Je me levais, allait derrière elle et lui baissa pantalon et culotte aux chevilles.
" C'est mieux comme cela, mais Marie-Hélène, votre chemisier tombe bas, il risque de nous gêner pour la punition, voulez-vous bien l'ôter ?
Marie-Hélène défit les boutons de son chemisier et bientôt apparue ainsi, cul et chatte nus, en soutien gorge devant mon mari. Il lui intima l'ordre d'approcher et de s'allonger sur ses genoux. Ce qu'elle fit. Placée derrière elle, elle ne pouvait me voir, mais j'avais une vision de son cul qui m'échauffait terriblement. L'atmosphère était pour moi insoutenable. Je m'installais dans le fauteuil et passant ma main sous ma jupe, je me caressais avec volupté. C'est ainsi que les premiers coups tombèrent sur ces fesses offertes à notre lubricité. Aux deuxième coup jaillit la première plainte et écartant ma culotte, je me mis un doigt dans la chatte. Mon mari fessait le cul de la bonne et avait la vision de sa femme se mettant un doigt.
La punition continuait, et à 20 coups, le martyre de Marie-Hélène s'arrêta momentanément.
Je n'en pouvais plus, j'aurais aimé que mon mari me baise là, sur place, sous les regards de la bonne. Mais nous n'en étions pas encore là.
Elle se leva, aidée par mon mari qui prévenant, l'informa qu'il avait une pommade qui soulagera la douleur. Je pris donc place sur le siège, mais m'étant rendue compte que du fait qu'elle avait conservé son pantalon et sa culotte on voyait mal sa chatte, je demandais à Marie-Hélène d'ôter ces deux vêtements, prétextant qu'ils me dérangeraient. Marie-Hélène s'exécuta et je me promis de la fesser suffisamment fort afin que ses jambes s'écartent et que mon mari puisse voir son minou.
C'est donc vêtu seulement de son soutien gorge qu'elle reçut la deuxième partie de sa correction. Je lui mis les fesses bien rouges, et les cris qu'elle poussa me certifièrent de l'efficacité de ma fessée. Presque nue, le cul rougi, je la mis debout, dans cette tenue dans un coin du salon, lui interdisant de bouger tant que nous ne lui aurions pas intimé l'ordre. Puis je m'approchais de mon mari, lui libérais sa queue que je trouvais bien raide et lui prodiguais une telle fellation qu'il ne tarda pas à jouir dans ma bouche.
Mon mari alla ensuite chercher la pommade promise et je repris Marie-Hélène sur mes genoux pour lui caresser le cul les mains enduites de crème.
La date hebdomadaire des punitions a été fixée au vendredi vers 13 h, heure à laquelle arrive notre bonne. Je crois que nous n'allons pas tarder à pousser plus loin cet avantage.
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